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Ainsi (parle) Paškuwatti, l’Arzawéenne
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- [mais] elle demeure dans la ville de Parašša.
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Si un homme n'a pas de force de procréation
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ou bien s'il n'est pas un homme vis-à-vis d'une femme,
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j’offre pour lui un sacrifice à Uliliyašši
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et j’invoque celle-ci pendant trois jours.
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Le premier jour, j'agis ainsi :
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un pain de soldats (est) assemblé
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et avec lui ceci (est) disposé, (à savoir) trois pains ordinaires doux (à base) de farine fraîche (d’un) tarna-, de la figue, du raisin sec, du pavot, de la boisson parhuen[a]-, du memal de la divinité, un peu de chaque, une touffe de laine de mouton, [un] pichet de vin, les [habits BAR.TE] ou bien le manteau de cet homme (qui est) le patient,
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(tout) cela est [dép]osé sur le pain de soldats.
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Une « fille de pureté sacrée »1 soulève [ce]la.
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Le patient (s'est) lavé
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et marche derrière.
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Il (s'est) lavé avec […].
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(Puis) nous l'emmenons et (le) plaçons dans un lieu non cultivé, dans un autre [lie]u.
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[La] même [fille] en personne maintient le pain de soldats levé
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et je confectionne un portail2 en roseaux.
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[Ens]uite, je les lie ensemble avec de la laine rouge (et) de la laine blanche.
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Je mets dans la [main du] patient un fuseau et une quenouille.
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Il traverse le portail.
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Quand il sort du portail,
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je lui retire le fuseau et la quenouille
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et je lui [do]nne un arc (et) [des flèches].
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En même temps, je parle ainsi :
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« Je viens de te retirer (ta) féminité
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et de te rendre (ta) virilité.
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Tu as rejeté à nouveau le comportement [de la femme]
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et [tu as (re)pris] le comp[or]tement de l'homme. »
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En même temps, je [par]le ai[nsi] :
Texte lacunaire des lignes I 33 à 36'
Lignes I 37'-38' lacunaires
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« Pour lui, le hattar […] se trouve […]
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ou bien la 'fille de pureté sacrée' […].
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Il est descendu à ses reins.
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Ce mortel (a été) d'excrément (et) d'urine,
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il ne t'a pas trouvée.
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Maintenant, à l'instant, il est venu à toi à genoux pour rechercher ta protection3,
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il te cherche, déesse, pour ta nature divine.
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Que (tu sois) dans la montagne,
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que (tu sois) dans la prairie,
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que (tu sois) dans la vallée,
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viens à cet homme avec bienveillance !
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Que les vents et la pluie ne frappe pas tes yeux !
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Il va faire de toi sa divinité (personnelle).
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Il t'offrira un lieu (de culte),
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il te donnera une demeure.
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Il te donnera serviteur (et) servante,
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il te donnera gros (et) petit bétail.
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Il fera de toi quelqu'un qui reçoit des offrandes votives.
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Je suis en train de t'invoquer (et) de t'attirer4.
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Viens ! Amène avec toi le dieu Lune, le(s) étoile(s) (et) la déesse Soleil de la terre !
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Que les servantes et les serviteurs soient empressés auprès de toi !
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Que les dieux (et) [les déesses] soient empressés auprès de toi !
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Viens aux côtés de cet homme !
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Toi (tu es) son épouse (pour qu'il fasse) des enfants.
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Fais à nouveau attention à lui !
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Retourne-toi vers lui !
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Confie-lui ta servante,
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il deviendra (ainsi) un joug (pour elle).
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Qu'il prenne sa femme
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et qu'il (lui) fasse des fils (et) des filles !
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(Ceux-ci) seront tes serviteurs (et) tes servantes.
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Ceux-ci te donneront des offrandes, des gros pains, du memal (et) des libations.
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Cet homme ne te reconnaissait pas (encore) à l'instant même.
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A présent, il a fini par te chercher.
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Comme (c'est) toi (que) celui-ci a fini par chercher,
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toi, déesse, sois disposée favorablement envers lui.
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L'affaire pour laquelle nous t'invoquon[s] sur terre
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- déesse, montre ta nature divine ! -
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rends-la favorable !
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Qu'il voie ta nature [divine, à toi, déesse] !
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A la suite de cela, il fer[a de toi la divinité] d[e sa personne].
Les lignes 26 à 32' sont lacunaires
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Je repose [les pains rompus] sur le pain de soldats
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et nous rentrons à la maison.
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Dans la maison où je fais les offrandes,
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une nouvelle table est installée.
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Je pose (les pains rompus) sur le pain de soldats sur la table
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et je dépose en face un pichet.
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Les pains rompus qui étaient posés sur le pain de soldats,
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et je (le) donne à l'homme, (c'est-à-dire) le patient.
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Il le met dans sa bouche
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et il boit trois fois (en l'honneur de) la déesse Uliliyašši.
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Quand (c'est) le soir,
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le patient se couche en face de la [ta]ble même,
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on place sa [cou]che en face de la table même.
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Les habits BAR.TE [ou] le manteau qui avaient été posés sur le [pain de sol]dats,
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il [les] étend chaque nuit.
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Je fais cela durant trois jours.
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Dans une journée, j'invoque trois fois (la déesse) : (une fois) à l'aube, une fois au milieu de la journée (et) une fois le soir.
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En même temps, je prononce ces mêmes paroles.
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Je romps quelques gros pains à l'aube,
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je romps d'autres gros pains au milieu de la journée,
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j'en romps d'autres le soir
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et je verse une autre (portion) de memal.
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Ensuite, je [s]acrifie un mouton à Uliliyašši.
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On l'abat en [f]ace de la table.
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On emmène le mouton
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[et] on [l'égor]ge.
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Ensuite, […] le (acc.) […].
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Les viandes consacrées, (à savoir) […], la poitrine, l'épaule […].
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On les dépose [près de] la table.
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On fait c[ui]re le foie [(et) le coeur au happina-].
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[…] deux gros pains […]
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[…] sur sa table […].
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[… Ulil]iyašši (acc.) […]
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[…] le dieu Lune (et) les étoiles […]
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[…] bons […] dieux […]
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[…] à la divinité […].
Lacune d'environ cinq lignes
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« Toi, confie-lui ta servante,
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il deviendra (ainsi) un joug pour elle.
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Qu'il prenne sa femme !
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Qu'il lui fasse des enfants !
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Qu'il (lui) fasse des fils (et) des filles !
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Toi, déesse, montre ta nature divine !
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Qu'il voie ta puissance !
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Il fera (alors) de toi la divinité de sa personne.
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Il fera de toi quelqu'un qui reçoit des offrandes votives. »
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On étend à nouveau sa couche en face de la table.
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Les habits BAR.TE ou le manteau qui avaient été posés sur le pain de soldats,
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ceux-là aussi, on les étend pour lui.
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(Ensuite, il dira) s'il voit dans un rêve l'incarnation de la déesse,
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(si) elle vient à lui
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et couche avec lui.
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Lors des trois jours pendant lesquels j'in[voque] la déesse,
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les rêves qu'il voit,
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(et dit) si la déesse lui montre ses yeux
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(ou bien) si la déesse couche avec lui.
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A la suite de cela, il célèbre la déesse.
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En outre, si un vase haršiyalli- lui convient,
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il l’installe (sous la forme d’un) vase haršiyalli-.
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Mais si ce n'est pas (le cas),
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il l’installe (sous la forme d’)une pierre huwaši-
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ou bien il la fait (sous la forme d'une) effigie.
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Mais la table neuve qui se tenait (là) lors de l'invocation,
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(celle-ci) devient (l'autel) de la déesse en personne.
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Mais [s'il ne voit pas] l'incarnation (de la déesse),
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(si) la déesse [ne couche pas] avec lui dans un rêve,
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je continue de pratiquer (ce rituel).
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Pour cette expression qui désigne vraisemblablement une vierge, voir Hoffner 1987, p. 284.
Au pluriel dans le texte, dans le sens d’un collectif. Cela s’explique probablement par le fait que le portail est constitué d’au moins deux portes successives formant un ensemble monumental.
Je suis l’idée de Hoffner 1987, 284 qui démontre d’une manière tout à fait convaincante l’usage particulier qu’il est fait ici d’appa (EGIR-pa) qu’on ne peut aucunement traduire par « de nouveau » étant donné que le patient vient à la déesse pour la première fois.
Le verbe talliye/a- désignerait un verbe d’action, et non de discours comme généralement admis : voir Melchert 2010.
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